One Piece Seken
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 Memory Part #12 [FLASH BACK]

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Element Emishi



Element Emishi

♦ Messages : 23
♦ Date d'inscription : 25/06/2011

♦ Race : Humain
♦ Camp : CP9
♦ Équipage : Bateau du G.M

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MessageSujet: Memory Part #12 [FLASH BACK]   Memory Part #12 [FLASH BACK] I_icon_minitimeJeu 14 Juil - 13:26

Memory Part #12 [FLASH BACK] 21646395
oO Il suffit de bailler aux corneilles Oo

Je venais tout juste d’être promu en tant qu’agent du Cipher Pol avec la bénédiction de mes supérieurs hiérarchique et voilà déjà qu’à mon bureau s’empilaient les ordres de missions. Mes confrères étaient-ils incompétents au point de devoir m’en donner pour mon grade ? Si l’amertume d’un meurtre se compense par des milliers de vies sauvées, je n’hésiterais pas à tuer. Passant derrière mon bureau, je saisis directement le premier ordre de mission se présentant à moi. Une extermination de révolutionnaire dans un petit village proche de Logue Town. Il semblerait en effet que j’étais prédisposé à ce poste, j’allais commencer mes œuvres gouvernementales là où la piraterie à vue le jour. Ciel, que c’est ironique. Je sortie de mes appartements, salué par mes anciens supérieurs, maintenant inférieur à moi. Mais je n’attachais pas d’importance à ce genre de détails inutiles qui peuvent facilement vous faire perdre raison. Nous sommes tous au service du gouvernement mondial, quelque soit notre grade et notre force. Traversant les longs couloirs sinueux de la plus grande bâtisse du gouvernement mondial, je me rendis finalement au port, prêt à embarquer avec un homme que j’avais désigné comme étant mon ‘compagnon de voyage’. Nous partîmes au soleil couchant, en traversant calm belt, nous devrions arriver à l’aube, normalement. Gagnant ma chambre dans ce qu’il semblait être une cale –pour ne pas se faire remarquer un navire civil est préférable-, mon semblable, lui, semblait voir cela d’un autre œil, il semblait se plaire à jouer aux cartes plutôt qu’à préparer le terrain, négocier une stratégie d’infiltration, car c’est sure, un camp de révolutionnaire, il vaut mieux le faire imploser pour tuer les ‘reines’, le procédé est le même qu’avec les fourmis. Là où ils voient la faiblesse, ils frappent. Dieu, faites que la nuit passe vite.

L’aube arriva bien plus rapidement que je n’aurais pu l’imaginer, j’étais encore fatigué et la traversée fut animée par une tempête draconienne. C’était rare que la mer elle-même me remue autant. Débarquant à LogueTown, il me fallait maintenant partir en quête d’informations et de moyens d’infiltrations. J’avais déjà une idée sur la chose. Mon confrère semblait ne pas vouloir me lâcher pour partir à la quête de renseignements, j’allais donc devoir me le taper durant toute ma mission ? Si j’avais su qu’il serait une gène plutôt qu’utile, je m’y serais repris à deux fois. J’errais dans les rues, regardant tout autour de moi, guettant une animation suspecte. Je fus surpris de voir un incendie non loin de là, dans ce qu’il semblait être une auberge. Courant sur les lieux, j’arrivai après coup. Plusieurs personne étaient là mais un seul retint mon attention, un homme avec un cache œil, tout de rouge vêtu et visiblement psychédélique. Il venait de passer derrière une femme pour lui lécher le cou en déclarant souhaiter le disséquer. Un simple tueur en série donc ? Cela ne nous intéresse en rien. J’allais continuer ma route alors que la femme se faisait trainer dans une ruelle sombre mais l’agent détaché en mission avec moi crispa sa main sur mon bras, ayant pour simple effet de me faire lâcher un rictus énervé. Saisissant l’ordre de mission, je feuilletais ce dernier avant de déclarer.

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« Nous n’avons pas reçu d’ordre concernant un éventuel psychopathe, il ne doit donc pas être une menace. Cependant si toi tu désires l’ordre de mission signé du conseil des cinq étoiles, je t’en pris, mais sache que souiller une calligraphie à la paix me poussera à te tuer. »

Voyant la mine choqué et dépité du jeune agent –bien qu’il soit bien plus vieux-, je repris la route en déclarant tout bas. « Après tout, nous pouvons bien faire du black… ». Je continuais ma route dans la ruelle suivit de l’agent, en murmurant simplement quelques mots inaudible pour les personnes autour de moi. Un fantôme se détacha de mon corps pour venir s’éclipser dans la ruelle où était parti l’homme psychotique. Suite à cela, une explosion conséquente se fit entendre, l’agent détaché avec moi eu un rictus de douleur tandis que je souris en déclarant. « Une âme perdu, dix de sauvés ! ». Avant de partir en fou rire en solitaire. Cependant, ce que je ne savais pas, c’est que depuis notre débarquement, nos faits et gestes étaient analysés, le coup du fantôme y était passé aussi. Si bien que, après quelque mètre après LogueTown, nous nous fîmes encercler par des révolutionnaires qui visiblement, eux, n’éprouvaient pas le besoin de se cacher des yeux du gouvernement. Pointé d’armes, mes bras se levèrent au ciel instinctivement. Mon collègue lui tentait de résister. Un abruti fini, il ne comprenait donc pas que c’était le moyen le plus rapide pour aller à leur camp ? Soupirant, je plongeais mon regard dans le sien avant de lui ordonner de ne pas bouger pour ne pas mourir. Une chose cependant m’inquiétait réellement. Comment pouvaient-ils savoir qui nous sommes ? Il y’aurait donc des fuites au gouvernement ? C’était tout simplement impensable et insondable. Les secrets y sont pourtant mieux gardés qu’Impel Down lui-même. Poussant un râle de colère, je fus finalement emmené à leur camp toujours sous la menace des armes. Là-bas, je fus jeté dans une cage et gardé par deux révolutionnaires. Bon, infiltration réussi, il me faudrait donc de quoi tout faire péter de l’intérieur. Une simple projection astrale me suffirait à repérer les lieux. Je fis alors ma ronde, simulant un sommeil profond pour me balader à travers les murs. Ce n’est qu’après vingt minutes que je me rendis compte, ce camp était plus un village qu’un réel camp de révolutionnaires. Des femmes, des enfants, qui eux n’appartiennent pas à la révolution. Mais, j’ai été dressé pour mordre, pas pour discuter. Le chien sort les crocs et décide donc de passer à l’offensive, non pas sans une certaine joie à l’idée de la vue du sang. Déclarant ma présence en projection astrale, les révolutionnaires les plus combattifs me sautèrent dessus pour simplement passer au travers de mon corps. Suite à cela je regagnai mon enveloppe charnelle. Les voilà qui arrivèrent. Poussant des hurlements à la mort, allons, je n’avais même pas encore commencé… Ils ouvrirent la cage avant de me saisir par les cheveux en me projetant au sol. Sourire aux lèvres, je regardais avec plaisir la porte de ma prison ouverte. Courant à l’extérieur, je refermai cette dernière derrière moi.

« Mesdames et Messieurs ~ Nous allons commencer, installez-vous confortablement et attendez patiemment que sonne le glas… Huhuhu~ Mini Horo ! »

Un fantôme sembla sortir de mon corps, me regardant en tirant la langue, l’air hagard. Semblant un humour, je déclarai pour se dernier « Vous me semblez quelque peu blafard, je pense que le rouge vous irez à merveille ! » Suivi de rires avant que le fantôme ne rentre dans la cage ou sont maintenant enfermé les hommes de la révolution. Après un rire moqueur de se dernier, il explosa, projetant le sang dans toutes les directions au sens littéraire de la chose. Étant à côté de la cage au moment du meurtre, je ne tardais pas à me rendre compte que mon visage était recouvert de cet élixir vital. Il fut d’ailleurs la seconde raison de ma folie. Je jubilais maintenant, passant dans les tranchées et les rues improvisé de ce camp, rapidement rejoint par mon collègue qui semblait avoir compris mon signal de départ, mes fantômes fusaient dans toutes les directions, rentrant dans toutes les maisons. Cependant, je ne lâchais aucun fantôme explosif, juste les negative Horo pour éviter qu’ils aient le courage de fuir, après tout, la dépression ne vous prépare t’elle pas à la mort ? Les gens dans les rues étaient maintenant à genoux, se plaignant sur leurs vies, leurs sorts. Fier de mon œuvre, je marchais, me nourrissant de ces plaintes comme le diable se nourrit des vices humains. Je m’approchais d’une famille, revolver en main, saisit la mère de cette dernière avant de la coller à moi, mon torse contre son dos et mon bras entourant son cou.

Memory Part #12 [FLASH BACK] File.php?avatar=12049_1277454701

« Les enfants, dîtes ‘à tout a l’heure’ à maman ~ »

Et un bruit sourd. La femme tombant lourdement au sol, le crâne fracassé par la crosse du revolver et non par une balle. Je jubilais à l’idée de voir les ennemies du gouvernement souffrir. Rapidement, j’envoyais le père et les deux enfants rejoindre leurs mère et fit le tour de toutes les familles. Apparemment aucun de mes negative Horo n’avait échoué à la tâche. C’est dingue, pas un seul pessimiste ici ? Il semblerait que les révolutionnaires pètent plus haut que leurs culs. Mon confrère apeuré par la situation lui se contentait de me suivre sans tuer personne. Ce n’est qu’après une heure de carnage que j’en vue la fin. Il ne restait plus que deux ou trois âmes et pour en être sur, j’envoyais des fantômes repérer leurs positions. Une fois cela fait, j’ouvris la marche. Voilà donc, deux enfants et une femme. La femme et les enfants ne semblaient pas avoir été affectés par mes negative Horo. Poussant un léger soupir, je pris la parole en complainte.

« Madame, les enfants, étant donné que vous n’avez pas été affecté par ma main, je laisserai mon collègue éradiquer la menace d’un révolution contre le gouvernement mondial. Pour se faire, il commencera par les enfants et tuera la femme. Je vous souhaite une bonne fin de vie. »

Je me redressais ensuite, prêt à partie en jouissant des coups de feu. Mais rien, revenant dans l’habitation, je le voyais en train d’hésiter, déclarant simplement qu’il ne pouvait pas tuer femme et enfants. Désobéir à un ordre direct est lourd en conséquence. En réponse à cette déclaration, un sourire sincère avant de m’éloigner. Je repris en note les ordres de mission. Détruire le village de révolutionnaire. Détruire. Détruire. Je n’avais donc pas fini. Je m’éloignais du village, laissant mon collègue sur place avec la femme et les enfants. « Toku Horo » furent les derniers mots prononcé. Là, des dizaines de fantômes s’assemblèrent pour n’en former qu’un seul. Je m’éloignais toujours envoyant le mastodonte dans les rues encore intacts bien que démunies de vies. Une explosion impressionnante retentit, faisant trembler le sol manquant de me faire perdre l’équilibre. Je me retournai alors en admirant dans le ciel ce magnifique champignon de fumée. Je retournais donc sur mes pas. Là c’était bien par crainte. Je ne pouvais pas me permettre de laisser des survivants. Sur les lieux, des flammes, des ruines des pleures aussi que je m’empressais de faire taire. Le sang recouvrait le sol précédemment fertile, les âmes errantes semblaient faire danser les flammes autour de moi. Je retournais vers le lieu de sépulture de mon collègue. Il était toujours vivant. Après tout il n’était pas agent pour rien. Il avait au moins le mérite d’être résistant.

« Tu n’es qu’un enfoiré ! Un malade de chien au service de ces maîtres ! Crève en enfer ! »

« Un chien qui aboie, Monsieur, est un chien qui ne mord pas. Regardez ce corps calciné sous votre poitrail, pensez vous que cette petite fille, brûlé aux troisièmes degrés, survivra ? Le destin est cruel, le destin est notre maitre. Le gouvernement Mondial est le destin de tous hommes sur cette terre. Je suis l’envoyé du destin, le chien de ces Messieurs. J’éradique les menaces à la paix ainsi que les instruments inutiles. Vous, Monsieur, êtes devenu une gène à partir du moment où vous avez tentez de sauver cette petite. Voyez plutôt ce qu’elle ressent. »

Je saisis la petite par les cheveux, la soulevant au dessus du sol avant de donner l’ordre à un Mini Horo de s’immiscer en elle. Ce dernier passa par sa bouche. A vue d’œil, l’on pouvait voir au fil des secondes passantes, la douleur de cette petite avant qu’elle ne gonfle en un hurlement tétanisant pour finalement exploser au sens propre de la chose.

« T’es vraiment… Ta folie te perdra pauvre con ! »

« Surement ! Mais d’ici ce jour, mon seigneur, je vous prie de me regarder du ciel. Apprenez comment chasse les vrais chiens. Vous, vous n’êtes qu’un caniche. Mes hommages aux révolutionnaires, My Lord ! »

« Enfoir… ! »

Premier tir au revolver. Cet ancien agent eut au moins l’honneur de mourir sur le champ de bataille. Le fantôme décida de regagner le navire pour rentrer chez lui. Marchant en chantonnant un air des plus psychédélique, derrière lui dansaient les flammes, l’ont pouvaient entendre le crépitement des poutres et la calcifications des corps en décompositions, léchés par les flammes. Le chien a traqué, mordu, tué. Menace éradiquée.

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