La maladie mortel!(flashback (solo))

Pendant que je me préparais pour partir en voyage sur d'autre île, j'ai pensé à l'une des aventures intérieures que j'avais eues il y a quelques années. Alors que j'avais 21 ans et que je m'entrainais continuellement avec le Yabat'Suy, arme que j'avais à l'époque, un marin qui venait de s’échouer sur le bord de la rive, rampait vers moi en me suppliant de l'aider. En gentil homme que j'étais, je suis allé le prendre et je l'ai emmené à l'hôpital. Au bout de deux jours, il mourra, mais l'inconvénient avec cette maladie c'était qu'elle était transmissible et que nous n'avions pas les moyens pour la contrer. Donc une journée plus tard, un homme eu la maladie, il commença avec de la fièvre, puis le deuxième jour il eut des maux de tête et de ventre, le troisième jour et le quatrième se passa comme ceux du marin, il criait et il vivait des hallucinations, le malade devenait fou et en mourrait.

Au bout de deux mois, vingt personnes étaient tombées malades et ils en sont tous morts. La panique courait dans le village, car personne ne pouvait partir pour garder le reste des gens en sécurité. Nous étions tous destinés à mourir en moins de quelques années avec cette maladie et tout le monde avait peur. La maladie arrêta de faire de nouvelles victimes par un beau jour d'été. La chaleur était intense la pression atmosphérique était stable, mais nous sentions quand même un énorme poids sur nos épaules. La copine de Tolak, mon meilleur ami, était tombée malade et c'était la dernière personne pour l'instant à avoir la maladie. Tolak était inquiet et tous les médecins lui avaient interdit l'entrée dans la chambre de Marie, sa copine. Mon ami était furieux, sa blonde allait mourir et il était impuissant. Je devais agir pour aider mon meilleur ami donc je lui fit part de mon plan.

Tout de suite, il accepta donc avec son aide je m'introduisis dans la chambre de Marie inconscient et insouciant par la mort que j'aurais pu avoir je parlai a Marie pendante quelque minute lui disant que son copain l'aimait et qu'il allait toujours ce souvenir d'elle. Après quelques minutes je sentis la maladie m'envahir un soupçon de poison dans la gorge et un mal dans le sang incontrôlable. D'un seul coup je me retrouvais dans un monde nouveau. J’étais dans un trou noir plus noir que l'absence de couleur, j'étais dans les ténèbres totales. Je commençai à avancer à tâtons lorsque je vis une bête éclairée par la lumière de la vie. Elle était gigantesque avec des cornes et des griffes de longueur démesurée, elle ressemblait à un bison mélangé avec un dragon, cette forme était très blizzard. Au début, je croyais qu'elle se débattait dans le vide, mais en regardant de plus près j'aperçus une forme gluante et poissonneuse sur la bête. Je ressentais encore le poison dans mon intérieure et en voyant la bête ce faire dévorer par le monstre gluant, une partit de ma folie s'envola d'un coup lorsque la bête perdit un bras et c'est la que je compris que j’étais a l'intérieur de moi même. La bête était ma folie et le monstre était la maladie.

Je devais agir, mais dans mon intérieur je n'avais pas d'arme et c'est là que je vis le Kubikiri pour la première fois. (Le Kubikiri est une arme que j'ai créé par la suite dans le monde réel) Je ne pouvais pas tuer la bête, car la maladie allait prendre possession de mon corps et j'allais mourir donc avant de m'élancer dans la lumière je regardai autour de moi et je vis Marie, elle était debout et elle avança vers la bête pour la tuer avec un couteau. En voyant cela, je tournai mon regard sur le combat ou je vis un gigantesque monstre gluant, vert comme le petit monstre, qui avança vers la bête et se fusionna peu à peu avec l'autre monstre, devenant encore plus gros. Pendant que la bête mourrait peu à peu je convainquis Marie de tuer le monstre pour pouvoir vivre et revoir Tolak.

À deux, on est parti droit sur le monstre pour le détruire, au début la bête attaqua Marie, mais en me voyant la bête arrêta. À trois, nous avons réussi à détruire le monstre gluant. D'un coup, je me suis retrouvé au coté de marie, tous deux assis à ce regarder. La douleur était parti et les médecins eux venait d'arrivé en nous tapotant avec leurs instruments. Furieux que je sois rentré dans la chambre de Marie les médecins m'ignoraient presque, mais lorsqu’ils s’aperçurent que Marie allait bien il m'examina. Aucun de nous deux n’allait mal et depuis ce jour personne ne mourra de cette maladie. Ma folie elle, qui était en réalité une bête qui sommeillait dans moi, c'était réveillé à son maximum, mais maintenant blessé, elle était moins forte.

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