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 [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2-

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Maitre-Jeu



Maitre-Jeu

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[RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- _
MessageSujet: [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2-   [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- I_icon_minitimeLun 3 Jan - 23:50

[RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- 3NMlhXBhV8



Ikki... si il y avait bien un mot qui ne le caractérisait pas aujourd'hui c'était "finesse". Par contre les mots "rentre-dedans", "bourrin", "fonceur", "tête brulée" lui allaient comme un gant. Aussi étrange que cela puisse paraitre, et grace à un concours de circonstance, sa traversée des lignes ennemies porta ses fruits. L'un des gardes l'effleura de peu, mais ikki lui fila entre les doigts. Et une fois dans le groupe des autres invités, impossible de le retrouver. Les gardes pestèrent un long moment avant de s'en remettre. Suite à cela il embarqua dans l'un des canoe pousse-pousse et fut conduit jusqu'à l'entrée Ouest de la salle. Les gens y étaient moins nombreux qu'au rez-de-chaussée, mais visiblement plus civilisés.

Lawliet s'était finalement bien amusé avec ses racketteurs. Nul doute qu'ils y réfléchiraient à deux fois à l'avenir avant de s'attaquer à une mariée qui se balade dans la rue ou ... sur la plage. Comme tout le monde il avait fait son petit bonhomme de chemin, se perdant un peu dans les courants humains qui menaient à la salle, et surtout résistant à l'envie de se rendre immatériel, il finit par emprunter celui qui amenait à l'entrée Ouest, sur le balcon. L'endroit était joli, frais, agréable et il restait de bonnes places pour s'installer.

Les regards de Lawliet et d'Ikkinetsu se croisèrent lorsqu'ils virent en même une lettre bien remplie tomber de la poche d'un vieil homme masqué. Le gars étaient visiblement sénile parce que de gros biftons de berrys dépassaient de l'enveloppe. Et à vue de nez elle ne devait pas contenir bien loin de 500.000 berrys....


Ainsi, au fil de la longue avancée vers la salle ou devait se tenir le clou du spectacle, et surtout à cause de la cohue générale, les groupes s'étaient un peu mélangés et des gens des différents quais se retrouvaient mêlés les uns aux autres.

En pénétrant dans la salle, chacun ne pouvait être qu'époustoufler devant autant de richesses, d'espace et de confort. La salle était immense. Certains parlaient d'une superficie équivalente à celle de deux terrains de football, hé bien ça ne devait pas en être très loin. La hauteur du plafond, perché à trente mètres au dessus du sol, ajoutait à cette impression de vertige qui prenait au ventre lorsqu'on s'aventurait à quelques pas des portes.
Le sol était fait d'un marbre blanc et noir, recouvert ça et là par des tapis de fourrure rouge. Fourrure qui se trouve être en peau de baleine angora, un must en matière de confort et de douceur. Par dessus ce sol richement entretenu étaient flanqués plusieurs séries de sièges fabriqués en érable millénaire et recouvert de cette même matière rouge et douce. L'érable millénaire est surtout connu, rappelons-le, pour sa capacité à produire du sirop de manière continue. Aussi les invités ne doivent-ils pas se montrer surpris si ils trouvent sur l'accoudoir gauche de leur siège, un plateau rempli de crêpes.
Au mur on pouvait admirer de nombreuses tapisseries toutes plus complexes et incroyables les unes que les autres. Sur l'un des murs on pouvait voir un immense homme-poisson assis tendant un doigt vers le ciel qu'un vieux type en armure assis sur un nuage venait toucher du bout du siens. Sur un autre mur, une série d'arabesques décoratives s'imbriquaient les unes dans les autres et formaient une sorte de labyrinthe. Pour qui avait l'oeil, on pouvait d'ailleurs se rendre compte que certains avaient tentés, en vain, de tracer un chemin au milieu du dédale.
Et pour couronner le tout, deux balcons aux dimensions titanesques, à tels points qu'on en venait à se demander par quelle facétie des lois de la physique ils tenaient debout, couvraient les versant Est et Ouest de la salle. Ils semblaient avoir été taillés d'une seule pièce dans le marbre. De nombreuses dorures ornaient leurs balustrades. Sur ceux-ci, de nouvelles rangées de sièges se succédaient, aussi luxueux que ceux du rez-de-chaussée.
Et finalement en tête de la salle, une grande scène en bois sur laquelles étaient disposées des vitrines recouvertes pour l'instant par des draps de soie bleus. Il y avait plusieurs petites vitrines et une beaucoup plus grosse au centre de la scène. Juste à côté de cette dernière se trouvait un pupitre avec un dendenmushi-microphone.


Peu à peu la salle se remplissait des illustres invités. Certains prenaient place en fonctions des liens qu'ils avaient déjà tissés depuis leur arrivée, d'autres avaient des raisons plus stratégiques et d'autres encore cherchaient surtout le siège le plus moelleux.
Pour que tout se passe dans la paix et qu'il n'y ai pas de chamailleries quant au choix de sa place, de nombreux gardes étaient présents et veillaient au grain.

Bientôt la plupart des convives furent installés et on vit arriver sur la scène un homme masqué, comme tous les autres. Il s'installe derrière le pupitre et tapota le denden-micro.

"Un, deux, or"
"Un, deux, or"
"Un, deux, un, deux, ah ça y est je crois qu'on m'entend or"

Le brouhaha de la salle perdit doucement en intensité pour devenir un léger murmure. Quand la salle fut suffisamment silencieuse pour lui, le mystérieux orateur entama son discourt.

"Je vois que vous êtes tous bien installés, platine. Je vous souhaite donc à tous la bienvenue à cette formidable exposition et vente aux enchère, argent. Aujourd'hui je suis votre hôte, je suis le richissime Edouard-Henri Delablinque, diamant"

Sur ces mots il ôta son masque et se révéla ainsi à l'assemblée

[RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- QMh7zup7kO

Puis, sans attendre, il reprit son speech.

"Très chères amis, je peux sentir votre impatience, rubis. Aussi vais me montrer bref, émeraude. Les pièces qui seront exposées aujourd'hui ont été mises à jour par des archéologues que j'ai moi même financé, platine. Ils ont mit à jour un site datant des premiers roi de GrandLine, argent. Car oui, avant d'avoir un gouvernement démocra*atchoum*tique, GrandLine était une monarchie gouvernée par des rois, des princes, des chevaliers et une noblesse, rubis. Hé bien oui, ce que nous vous présentons aujourd'hui, ce sont les trésors de ces anciens rois, la plupart d'entre eux sont tout bonnement inestimables, émeraude. La pièce maitresse ne sera révélée qu'une fois l'intégralité des autres objets dévoilés, or. Je vous préviens également que nous avons recruter le meilleur service de sécurité au monde afin de protéger ces trésors de ceux d'entre vous qui seraient les moins civilisés, diamant."

Et sans plus attendre, visiblement aussi impatient que les convives, Edouard-Henri tira sur la couverture de la première vitrine. Chacun pu alors voir un magnifique sabre taillé dans un métal noir aux reflets verts. Même invités qui ne pratiquaient pas l'escrime pouvaient comprendre, à l'aura dégagée par l'arme, qu'il ne s'agissait pas d'un jouet ou d'une banale réplique. Non, ce sabre là irradiait de quelque chose d'impénétrable.

L'homme d'affaire s'empressa d'en lire la définition :

"Splendide sabre en granit volcanique, or. Aurait appartenu à Illuran Kel, légende dans le monde de l'escrime qui s'en serait entre autre servi pour ouvrir la mer en deux, diamant. Il s'agit d'une pièce exceptionnelle et authentifiée par nos experts, sa mise à prix initiale est de 200.000 Berrys, argent."

Des murmures commencèrent à courir à travers la salle et plusieurs mains se levèrent, faisant monter les enchères...





[Voilà, vous pouvez raconter comment et où vous vous installez dans la salle (sachant que vous restez quand meme sur votre balcon ou au RDC si je vous y ai placé), vous pouvez même réagir au discourt, placer une enchère, ...etc. Faites comme vous le sentez, et dimanche prochain à minuit on passe à la phase suivante. Vous pouvez aussi aller voir dans le sujet des autres, pour réagir dans le votre si ça se justifie. Par exemple si un perso du RDC hurle, ben ceux des balcons peuvent l'avoir entendu]
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Ikkinetsu

Death Cooker & Afro Dj
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Ikkinetsu

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MessageSujet: Re: [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2-   [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- I_icon_minitimeDim 9 Jan - 15:59


La voie d'un Pirate
Argent & Pouvoir



    Après avoir réussi a berner la bande de gorille en rut, Ikki s'était détaché du groupe qui lui avait permis d'entrée. Suite à cela il embarqua dans l'un des canoë pousse-pousse et fut conduit jusqu'à l'entrée Ouest de la salle. Les gens y étaient moins nombreux qu'au rez-de-chaussée, mais visiblement plus civilisés. Bien que le visage et la tenus des gens étaient caché, on ne pouvait pas ne pas le voir. Ne serais-ce que par leurs gestuel et leurs paroles. Ikki avançait là où on lui indiquait, en cherchant de coin de l'œil la silhouette de Soran. Il se trouva un peu bête sur le moment, car autant Ikki avait expliquer a Soran qu'il aurait la boucle d'oreille fait par la Gem ball, autant Soran n'avait aucun signe distinctif des autres. Si jamais Ikki interpellait une personne et que ce ne soit pas lui, son identité pourrait être révélé. Surtout qu'il se peut que Soran ait rencontré les même problème que lui et qu'il ne trouva pas un moyen d'entrée, même si avec son fruit il pouvais aisément passé sans qu'aucun garde ne puisse l'arrêter. Nan c'était sur, il devait être parmi cette foule d'aristo, mais ou ? Ikki préféra ne pas trop s'attarder sur cette question, Soran est grand il saura se débrouiller seul !


    Ikki essaya au maximum de profité de cet opportunité, l'art était partout en ces lieux, C'est d'ailleurs en suivant le foule qui entrait dans une espèce de salle aux enchères qu'Ikki vit une enveloppe tomber par terre, celle ci s'ouvrit lorsqu'elle toucha le sol. Elle semblait remplit de billet, a vu de nez il devait y avoir au moins 25.000 Berry's. Ikki se dirigea vers l'enveloppe devenu un véritable "coffre au trésor". Il l'a ramassa et vit qu'il y avait bien plus qui ne l'avais imaginé ! Il laissa accidentellement le montant lui échapper des lèvres.


    _ 500.000 Berrys


    Comme par hasard a l'entente de ces mots, le bruit qui régnais se stoppa, et tous regardaient Ikki. Certains avait des yeux en feu, d'autres le regardait en lui mettant la pression... Si Ikki n'agissait pas vite, il serait sur qu'ils lui tomberaient tous dessus. Puis certain peu rusé se mirent a crié "C'est les miens !!! je viens de me rendre compte que je venais de les perdre !!!" Excuse minable, Ikki ne pouvais faire confiance a aucun d'eux, personne n'aurait eut la sincérité de dire a qui pouvais être ces billets. Surtout qu'avec les masques même si le vrai possesseur venait les réclamer Ikki ne le croirait pas ! Voyant qu'il n'était plus que la cible de tous, Ikki n'eut pas d'autres choix de jeter la moitié en l'air et de partir en courant. Après tout dans des lieux comme celui-ci l'argent représente vraiment le pouvoir... Celui qui en a le plus devient le meneur, les autres se regrouperont autour de lui pour avoir ses bonnes faveurs. Heureusement son geste avait provoquer un mouvement de foule, chacun essayait d'attraper le plus de billets possible. Quand a Ikki il venait de faire un profit de 250.000 Berry's avec un peu de chance, ce bénéfice lui permettra d'acheter ce qu'il voudrait.

    Arrivé dans la grande salle, voyant qu'il est seul un homme vint le voir afin de lui attribué une place. Pour je ne sais qu'elle raison, Ikki fut placé dans un des balcons. Cependant, ce n'était pas si mal... le fait qu'il soit a l'abri des crachat de gamin et autres lui enleva un poids. Il s'assied donc a la place qu'on lui indiqua et attendit dans son siège confortable le début des enchères. L'hôte était vraiment quelqu'un de respectable, mettra a disposition des crêpes pour chacun... Ikki en avait l'eau a la bouche, à prêt tout il devait être dans les alentours de 12h. D'ailleurs les crêpes d'Ikki n'allait pas rester longtemps intact, ce qui stoppa sa dégustation était les cris d'un gamin qui en voulait encore. Ne sachant que faire, sa mère alla demander a un responsable qui parut lui répondre négativement. Étant l'un des seul invité a avoir gagné sa place, Ikki resta le seul sur le balcon. Quand la mère revînt elle vit qu'Ikki n'avait pas fini et voulu en profité pour lui en demander quelques-unes. Ikki accepta de lui vendre toutes ses crêpes pour 1 000 Berry's. D'après ce qu'il avait vu, l'argent faisait tout ici, donc il ne pouvait pas rater une occasion d'en gagner... Surtout qu'elle n'avait pas trop le choix, soit elle acceptait et son fils l'a laissait tranquille, soit elle refusait et elle devrait continuer a entendre se braillement. 1 000 Berry's pour des crêpes est un peu une arnaque, et elle le savait bien, mais n'ayant pas le choix, elle accepta. Ikki se dit donc que sa fortune pourrait très bien commencer en ces lieux. Bien que son objectif n'était pas l'argent, Ikki aimait rendre les riches de plus en plus pauvre, c'était ainsi qu'il voyait sa voie de pirate, tel un robin des bois, il prenait au riche puis gardait tout pour lui et aidait ceux qui étaient vraiment dans la mouise. Ikki décida donc, de faussé au maximum les enchères,chaque personne qui enchérira aura Ikki comme adversaire, et il fera monter les prix le maximum possible. C'est bien simple, presque toute la salle a moins de 500.000 Berrys vu leurs comportement de tout a l'heure. Après il suffira d'évité les blinder de tunes et aussi ceux qui voudront aussi faussé les enchères...


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Lawliet Raven

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Lawliet Raven

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MessageSujet: Re: [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2-   [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- I_icon_minitimeJeu 13 Jan - 1:02

~ Chapitre Spécial 3 : Se souvenir des choses inutiles, la vente aux enchères de Silvercircus commence ! ~




Voici enfin Lawliet dans la salle des fêtes, le marine avait finalement réussi à intégrer le coeur de l'île et se trouva dans un lieu des plus extraordinaire qui soit, mais sans savoir ce qu'il y faisait. Maintenant qu'il y était il n'avait plus qu'à faire comme tout le monde et ce monde-ci cherchait des places sur lesquelles s'asseoir. En cherchant un endroit où s'asseoir le Corbeau Blanc vit une lettre tomber sur le beau sol de marbre aux couleurs noirs et blancs. Ces couleurs rappela au marine l'homme masqué qui avait glissé sur la bouteille que Lawliet avait lancé plus tôt.



Le Sergent-Chef ignora cette lettre et continua à chercher un endroit où se poser. Cette fois le marine aux grandes cernes avait ignoré le fait qu'une personne ait fait tomber cette lettre pas par impolitesse ou autre chose, mais parce que le marine n'aurait jamais su à qui la rendre et de toutes les façons un mystérieux inconnu s'était chargé de ramasser la lettre. Cette personne qui avait l'air d'avoir de bonnes intentions le paraissait moins subitement, car par curiosité il osa jeter un coup d'oeil dans ce qui n'était pas à lui. Après l'action vint la réaction, le jeune homme qui avait ramassé la lettre se mit à pousser des mots avec les souffle coupé.




<< 500.000 Berrys ! >>



En effet qui ne serait pas surpris en voyant un tel montant. Dans la lettre, il y avait une liasse de billet valant 500.000 Berrys et dès que le jeune homme avait ouvert ses lèvres pour prononcer ces mots tous les regards les plus avides se braquèrent sur lui. Selon Lawliet le jeune homme qui avait ramassé la lettre était parti pour une grande série de mésaventure. Tout commença quand les personnes autour qui avaient tous comme Lawliet entendu la somme de Berry que contenait cette lettre se mirent à parler dans tous les sens en disant que cet argent leur appartenait. Personne ne pouvait affirmer avec certitude qu'il disait la vérité, mais il était facile d'en conclure que quasiment tout le monde était en train de mentir.



Le Sergent-Chef qui observait la scène bien attentivement décida de partir l'ennui le dévorant les yeux, il pensait que le jeune homme qui avait la lettre finirait par craquer en faisant un geste qu'il aurait pu se réserver alors l'envie lui manquant le marine s'en alla donc et trouva un endroit où s'asseoir plus loin vers les balcons en hauteurs. Une place choisie Lawliet s'empressa de s'y poser en s'accroupissant et regardant attentivement qu'une chose se passe au milieu de la scène, mais au moment même où le marine posa son postérieur sur son siège le voisin qui était à la droite du Corbeau Blanc se mit à pousser un cri d'étonnement.



<< Aaahhh Eeeehhh Toi, là! A côté de moi, je te reconnais, t'es le type qui est sorti de mon ventre !!!! >>



Lawliet qui regardait dans le vide fronça subitement les sourcils et se demanda ce que cette personne voulait bien dire par '' t'es le type qui est sorti de mon ventre ''. En se mettant l'index gauche dans la bouche pour le lécher, mais toujours en regardant la scène en écarquillant les yeux sa réponse fut comme à son habitude des moins appréciables.



<< Désolé je ne vous connais pas, il m'est très difficile de reconnaître les gens avec tous ces masques et puis même si nous nous étions rencontré, je ne me serais pas penné à vous reconnaître. Aussi d'après ce que je sais, je ne pense pas que les hommes puissent donner naissances aux bébés. >>



L'homme vit sa colère s'accroître et ne voulait pas se laisser parler sur ce ton plus longtemps. L'homme qui portait un masque de chat pointa son doigt vers Lawliet et essaya de lui faire rappeler qui il est.



<< C'était tout à l'heure alors, ne fais pas exprès de m'avoir oublié sale corbeau ! >>



Ce qui était sûr, en insultant le marine celui-ci ne se gênerait pas pour se rappeler de ce scélérat, mais finalement après un déclic Lawliet sorti son doigt de sa bouche et pointa vers l'homme au masque de chat, car il s'était finalement souvenu de lui.



<< Aaahh oui! Vous étiez présent quand il y avait le jeune homme qui avait ramassé la lettre, c'est ça ? >>
<< Oui j'étais là... MAIS C'EST PAS A CE MOMENT QUE TU M'ES SORTI DU VENTRE ! >>
<< Vous avez bien un billet dans la main ? Où l'avez-vous trouvé ? >>
<< Oui, c'est un des billets que l'autre à jeter avant de s'enfuir en courant. >>
<< Je me disais aussi qu'il ferait une chose comme celle-ci....>>
<< C'est les gens d'aujourd'hui, ils sont tous bizarres …... EEEEHHH POURQUOI ON PARLE DE CE GARS AUX BILLETS, MOI JE VEUX QUE TU TE SOUVEINNES DE MOI !!! >>
<< Désolé monsieur, j'évite de me souvenir des choses que je trouve inutile, alors veuillez … Et puis non je ne m'excuserai pas, vous n'aviez qu'à être plus intéressant quand nous nous sommes rencontrés. >>
<< Espèce de ...! >>



Après cette discussion de sourds pendant laquelle Lawliet essaya de détourner l'attention de l'homme au masque de chat qui a bien failli se faire avoir fini par s'emporter après que le marine eut encore un égard de langage. L'homme au masque de chat envoya un coup de poing dans le masque du Sergent-Chef, mais son poing passa au travers de sa cible. En effet le Corbeau Blanc avait utilisé le pouvoir de son fruit et se rendit donc immatériel. L'homme au masque de chat qui se demanda pourquoi il n'arrivait pas à toucher le marine continua à lui assaillir une série de coup pendant que le marine chercha à finalement se rappeler l'homme au masque de chat pour qu'il arrête d'embêter le pauvre marine.



* Mmmhhh... C'est qui lui à la fin ? *


~Flashback

Après une série d'événements, Lawliet était sur la plage et avait dans la tête une idée pour réussir à entrer dans la salle de réception sans faire la queue. L'idée était de se rendre immatériel et passer à travers tout le monde, mais cela aurait sûrement causé des problèmes. Il manquait seulement une petite chose pour qu'on ne le voie pas et dans un élan de réflexion le Sergent-Chef trouva la solution. Le marine prit donc l'idée choisie et se mit en action. Derrière la foule le Sergent-Chef, utilisa le Soru une technique du Cipher Pol qui consiste à effectuer un '' déplacement éclair '' sur une certaine distance tout en utilisant son fruit du démon qui servait à se rendre immatériel. Les deux pouvoir assimilés, le marine se faufila ainsi à travers toute la foule sans qu'on puisse le voir. Sauf qu'à l'arrivée de son déplacement, Lawliet qui n'avait pas pu prévoir la fin de sa course avait fini la tête à travers un homme portant un masque de chat. La tête du marine sortait du ventre de l'homme au masque de chat et le reste du corps était derrière le dos de l'homme au masque de chat.

Flashback~~Flashback



<< C'est bon vous pouvez arrêté de me frapper, je me souvient maintenant. >>



L'homme au masque de chat fixa le marine et prononça quelques mots essoufflé.



<< Ooohhh, c'est vrai ? C'est bien gentil à vous …. IDIOT ! CA FAIT UN MOMENT QUE J'AI ARRETE DE VOUS FRAPPER, NE ME DITES PAS QUE VOUS AVEZ DEJA OUBLIE CA AUSSI ? >>



L'homme au masque de chat avait en réalité arrêté d'agresser le marine pendant qu'il essayait de se rappeler son agresseur. Lawliet qui pensait avoir au moins fait un effort préféra finalement de continuer à regarder la scène et espéra adresser ses derniers mots à l'homme au masque de chat.



<< Désolé, monsieur j'évite de me souvenir des cho... >>



Le Sergent-Chef fut coupé dans sa phrase par un homme qui apparut dans la scène et se mit à parler dans un DenDen-Micro.



''Un, deux, or''
''Un ,deux, or''
''Un, deux, un deux, ah ça y est je crois qu'on m'entend or''




Le marine se demandait qui cela pouvait bien être et justement cette personne allait peut-être répondre à la question de Lawliet. Le calme vint subitement de prendre le contrôle sur tous les convives de la salle et l'homme qui était au DenDen-micro reprit la parole.



'' Je vois que vous êtes tous bien installés, platine. Je vous souhaite donc à tous la bienvenue à cette formidable exposition et vente aux enchère, argent. Aujourd'hui je suis votre hôte, je suis le richissime Edouard-Henri Delablinque, diamant. ''



Après avoir décliné son identité, Edouard-Henri Delablinque, ôta le masque qu'il portait et dévoila son visage. Par la suite il commença un long discourt.



'' Très chères amis, je peux sentir votre impatience, rubis. Aussi vais me montrer bref, émeraude. Les pièces qui seront exposées aujourd'hui ont été mises à jour par des archéologues que j'ai moi même financé, platine. Ils ont mit à jour un site datant des premiers roi de GrandLine, argent. Car oui, avant d'avoir un gouvernement démocra*atchoum*tique, GrandLine était une monarchie gouvernée par des rois, des princes, des chevaliers et une noblesse, rubis. Hé bien oui, ce que nous vous présentons aujourd'hui, ce sont les trésors de ces anciens rois, la plupart d'entre eux sont tout bonnement inestimables, émeraude. La pièce maitresse ne sera révélée qu'une fois l'intégralité des autres objets dévoilés, or. Je vous préviens également que nous avons recruter le meilleur service de sécurité au monde afin de protéger ces trésors de ceux d'entre vous qui seraient les moins civilisés, diamant.''



Ceci étant fait, la seule chose que le Corbeau Blanc avait retenu c'était le fait que Edouard-Henri Delablinque avait un trouble obsessionnel compulsif qui consistait à citer des noms de minéraux à la fin de chacune de ses phrases. Le marine comprit que l'hôte de la cérémonie était un autre être avare. Edouard-Henri Delablinque montra ensuite à l'assemblée le premier article en vente, c'était un beau sabre qui selon Lawliet servirait mieux en décoration qu'en combat, mais ceci n'est que l'avis d'une personne non épéiste. Sans plus attendre Edouard-Henri Delablinque fit une description de l'arme mis en vente.



''Splendide sabre en granit volcanique, or. Aurait appartenu à Illuran Kel, légende dans le monde de l'escrime qui s'en serait entre autre servi pour ouvrir la mer en deux, diamant. Il s'agit d'une pièce exceptionnelle et authentifiée par nos experts, sa mise à prix initiale est de 200.000 Berrys, argent.''



Le prix de base était lancé et les surenchères allaient obligatoirement arrivés très vite. Le Sergent-Chef se retourna vers l'homme au masque de chat et lui posa une question.



<< C'est qui ce Edouard-Henri Delablinque ? >>



L'homme au masque de chat tomba de haut et la stupéfaction fut telle que l'homme au masque de chat a bien failli crier dans toute la salle, mais en contenant ses émotions un sujet de conversation était lancé.



<< Tu ne sais pas qui c'est ? Tu as normalement reçu une lettre et bah elle est de lui ! Mais pourquoi t'es ici en faite ? >>
* C'est donc lui qui a envoyé cette fiche lettre ? * << Vous comptez acheter ce sabre monsieur ? >>
<< Je sais pas je verrai... Tu pourrais répondre aux questions que je te pose quand même! Et toi avec ton grand chapeau tu comptes l'acheter ? >>
<< Je n'achèterai rien. >>
<< Et le billet qui dépasse de ce haut-de-forme, c'est bien un billet ? >>
<< Mmmhh ? >>




Lawliet enleva son chapeau et regarda à l'intérieur, il y avait bel et bien un billet qui en sortait. Dans le chapeau il y avait une poche cachée et dans cette poche il y avait de l'argent, encore et encore. L'homme au masque de chat devint aussi blanc qu'un cachet, car il ne comprenait pas pourquoi il y avait cet argent dans le chapeau du marine.



<< C'est quoi ce bordel !! Tu le sors d'où cet argent, il doit y avoir … J'ai même pas assez de doigts pour compter ! Bon c'est vrai j'en ai que 10, mais c'est quoi ça ??!!!! >>




Le Corbeau Blanc se rappela lorsqu'il était encore dans la base qu'avant de partir, le Colonel qui lui avait donné les instructions à suivre l'avait prévenu que la marine avait préparé un budget spécialement pour Lawliet afin qu'il puisse acheter les objets de son choix. Le Sergent-Chef remit son chapeau sur sa tête comme si de rien était et tout en sortant un billet de son chapeau-tirelire demanda une crêpe au marchant ambulant qui passait dans les sièges.



* Maintenant, je me rappelle pourquoi ce chapeau était aussi lourd.... * << Monsieur tête de chat, je n'aime pas me répéter et j'espère que ceci sera la dernière fois. J'évite de me souvenir des choses que je trouve inutiles. >>




To Be Continued...
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Dernière édition par Lawliet Raven le Sam 29 Jan - 0:20, édité 3 fois
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Maitre-Jeu



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[RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- _
MessageSujet: Re: [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2-   [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- I_icon_minitimeVen 14 Jan - 2:17



Ikki s'était montré malin sur ce coup. Parvenir à s'approprier la somme tout en dispersant l'attention, c'était habile. Riche de 250.000 Berrys de plus, il pouvait entamer les enchères. Il fut désagréablement surpris lorsqu'il entendit quels sommets atteignait le premier objets. C'était en million que cela se chiffrait.
Il était habilement parvenu à utiliser la tension des enchères pour grappiller quelques milliers de berrys en plus auprès d'une femme, mais ce n'était pas encore suffisant.

De son coté, Lawliet n'essayait pas de s'intégrer socialement au groupe. Il aurait voulu énerver les autres convives qu'il ne s'y serait pas mieux pris. Il ne fallait pas douter que ces derniers s'en souviendraient le moment venu.
Surpris de trouver de l'argent dans son chapeau, ce dernier venait peut-être de découvrir une pièce importante qui lui servait par la suite.


La cérémonie avait commencé tout doucement. Une fois la présentation d’Edouard Delablinque terminée, un léger murmure avait parcouru la salle et quelques mains timides c’étaient levées. Et puis petit à petit le murmure était devenu brouhaha et les quelques mains levées c’étaient transformée en un véritable champ humain d’index tendus. Dans certains coins les gens se battaient, dans d’autres ils se criaient dessus, …etc. On vit même un drôle de type s’élever jusqu’au balcon avant de retomber aussi sec sur le sol. Bref, c’était le bordel intégral. Mais au milieu de ce chaos les enchères suivaient leur cours. 300.000 berrys étaient rapidement devenu 3.000.000 qui eux même poursuivaient leur vertigineuse escalade vers des sommes indues.

Concernant cette splendide pièce d’excellente facture ont atteignit la somme de sept millions de berrys. Et ce fut un brave homme ventripotent à l’embonpoint mal dissimulé qui remporta le magot. Rien qu’à sa dégaine il était facile de deviner qu’il ne comptait pas s’en servir mais plutôt l’exposer pour s’en vanter auprès de ses richissimes et incultes amis qui n’en apprécieraient jamais autant la qualité que le cout. Assis au Rez-de-chaussée, lorsque le mot « adjugé » fut prononcé, il se leva et salua toute la salle, fier de son acquisition.

C’est précisément ce moment que choisit l’un des invités pour atterrir sur le premier rang. Cela créa un véritable tollé dans toute la salle. Certains sortirent leurs armes, d’autres attendirent impassibles pour voir ce qui allait se passer. Le drôle de type prenait ses aises sur les genoux du convive-amortisseur quand son masque se fendit et révéla à tout un chacun son visage. Un Shishibukai, un pirate légendaire à la solde du gouvernement. Comment se faisait-il qu’un homme pareil avait été invité à la réception. Les gens savaient qu’il était attaché au gouvernement, mais la méfiance naturelle l’emportait toujours lorsqu’il s’agissait de se faire une opinion sur les capitaines corsaires. Après tout ils avaient été des pirates, ils pouvaient le redevenir à n’importe quel moment. Et c’est précisément sur cette idée préconçue que joua le chef de la bande des hommes en rouge. Tout se passa à une vitesse fulgurante. Il adressa un regarde complice à l’orateur, Edouard Delablinque avant de donner des ordres à deux de ses comparses pour qu’ils volent le sabre sur la scène. Les deux types bondirent et se retrouvèrent face aux gardes qui escortaient Edouard.
L’un des deux petits chaperons rouges lança un :

« Oh toi ! Garde ! Laisse tomber tes armes et … »

Il eut visiblement un trou… il se tourna discrètement vers le chef, demeuré sous le capitaine corsaire. Il chuchota quelque chose que seul les gens du premier rang purent entendre, donc Raphael y compris :

« C’est quoi déjà le texte m'sieur ? »

L’autre pesta, lui hurla dessus et finalement l’homme repris où il en était resté :

« Oh toi ! Garde ! Laisse tomber tes armes et va manger des larmes ! »

Le chef posa ses deux mains sur son propre visage, tentant vainement de se contrôler, puis il lança doucement à son subordonné :

« Va chercher l’arme »

L’autre se ravisa et tenta encore une fois sa chance :

« Oh toi ! Garde ! Laisse tomber tes armes et va chercher l’arme ! »

Le garde ne suivit pas l’injonction du bandit et se lança sur lui avec force. Le gars en rouge esquiva et lui asséna un coup dans le ventre qui le fit s’écrouler sur place. Son compère se chargea de mettre hors combat les autres gardes du corps. L’un d’eux poussa même l’éminent monsieur Delablinque sur le coté en froissant ses vêtements. Ce dernier laissa échapper une complainte :


« Oh mon dieu, platine. On me tue, on m’assassine, rubis. Vous voyez, tous ces voleurs sont en train de dérober mes précieux trésors, vous êtes témoins, argent. Noooon, je sens que je me vide de mon sang, émeraude. Je ne peux plus rien faire pour protéger ces trésors, j’ai fait tout ce que le contrat d’assurance m’obligeait à faire, argent. Je peux mourir l’esprit vaillant et dans la gloire, platine ! »


Il porta les mains à son cœur, ferma les yeux, tituba sur toute la longueur de la scène pendant une bonne minute (qui sembla une éternité pour ceux qui regardaient) avant de s’écrouler au sol, là où se trouvait un petit tapis de soie blanche.

C’est ce moment que choisit le chef, toujours sous le Shishibukai pour s’adresser à Raphael assez fort pour que toute la salle entende :

« Voilà Chef, on a fait ce vous aviez ordonné. On fait quoi maintenant ? On vole le reste et on tue les gens comme prévu ?»

Il y eut un instant de silence dans la salle et puis le murmure du début repris de plus belle. Certains, très mécontents, commençaient déjà à se rapprocher en montrant les crocs.
Sur les balcons la tension était aussi palpable qu’au rez de chaussée.
Bientôt on entendit les gardes fermer les portes de la salle et des balcons. De lourdes portes très épaisses retenaient maintenant les invités dans la salle. Les gardes des portes, eux aussi commençaient à se rapprocher de la scène…
Cet enfermement accentua encore un peu les tensions naissantes.

On vit même certains invités se déplacer vers les vitrines toujours couvertes…




[hrp : Je ne mets pas de délais cette fois parce que cette phase va être un peu différente. Sachez seulement que plus vite il y aura des réponses... plus vite il devrait se passer quelque chose :p]
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Lawliet Raven

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MessageSujet: Re: [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2-   [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- I_icon_minitimeSam 22 Jan - 15:32

~ Chapitre Spécial 4 : La crêpe du bonheur pour Lawliet et une vente qui s'anime sérieusement pour les autres ~



Savourant une crêpe après avoir pu la payer avec l'argent qui se trouvait dans son haut-de-forme, Lawliet prêtait d'un oeil pas très intéressé la vente qui avait l'air d'attirer l'attention avec le premier article mis en vente qui était un beau sabre. Le prix de base était de 200.000 Berrys et les surenchères atteignirent vite les 300.000. Mais pendants que certains augmentaient leurs enchères pour avoir ce sabre, d'autres se battaient puisqu'on pouvait voir des éclairs sortis de nulle part, des vents aussi forts qu'en pleine tempête et des gens voler en l'air, d'autres ne faisaient absolument rien, et Lawliet dans tout ce raffut faisait quelque chose lui au moins, il mangeait des crêpes encore et encore... L'homme au masque de chat qui regardait le Sergent-Chef manger des crêpes sans arrêt commençait à avoir mal au coeur pour la personne qu'il regardait et voulait savoir comment il allait.



<< Euhh, t...tu vas bien masque de corbeau ? Tu sais manger autant, ça peu être dangereux. >>



Le marine aux grandes cernes qui continuait son festin en ignorant, dans un premier temps, l'homme au masque de chat continuait à manger jusqu'à après un trop grand excès de crêpe dans la gorge s'étouffa et prit une pause pour se calmer un peu. Une pause pendant laquelle Lawliet donna une réponse à son questionneur favori.



<< Ne vous inquiétez pas pour moi, j'essaye seulement d'atteindre la crêpe du bonheur et comme je suis persuadé que vous allez me demander ce que c'est je vais vous expliquer. Une légende dit que si une personne mange 100 crêpes en moins d'une heure cette personne connaitra le bonheur éternel durant sa vie entière et même pendant sa mort, alors je me suis dit pourquoi ne pas essayer.>>



L'homme au masque de chat se gratta la tête avec sa patte, car il essayait de comprendre ce que pouvait bien raconter Lawliet. Comment manger des crêpes pourrait rendre une personne heureuse pendant toute sa vie et même pendant sa mort. Cela devait être une légende pas très connu parce que si tel aurait été le cas, beaucoup trop de personnes auraient tenté d'acquérir le bonheur infini, à moins que les personnes qui ont essayé d'affirmer cette légende n'ont pas pu aller jusqu'au bout du rituel. 40, 45, 50, 55... et cela continuait, le marine aux grandes cernes avalait des crêpes sans arrêt et cette situation inquiétait de plus en plus l'homme au masque de chat.



<< T'es sérieux ? Tu crois vraiment que des crêpes peuvent faire ça ? >>



Sans laisser une seule petite seconde après la question de l'homme au masque chat, le Corbeau Blanc fusilla automatiquement l'homme au masque de chat d'un regard des plus sérieux et des plus froids avec une crêpe plantée dans la bouche. Le marine avait comme l'air de perdre de son sérieux pour avoir maintenant l'image d'un clown, mais la réponse de Lawliet avait l'air, elle, très sérieuse.



<< Regardez-moi bien dans les chieux ! Vous chroyez que che chuis le tyfe de perchonne à paffer mon temps à faire ges blagues ? Et fous le marchand de chrêpe, ch'en foudrait une autre, ch'il fous plait. >>



L'homme au masque de chat ne sut plus quoi répondre au marine qui continuait à manger des crêpes que le marchand lui donnait. Pendant ce temps le prix du sabre était monté jusqu'à 3.000.000 puis plus tard l'article mit en vente fut vendu pour la modique somme de 7.000.000 de Berrys. La personne qui avait remporté le sabre se leva et salua fièrement toute la salle sous un tonner d'applaudissement, mais ce moment de gloire fut vite passé. Des hommes habillés de rouge firent leur apparition sur la scène pour raison inconnue, mais un homme tombé du ciel tomba pour atterrir sur un des hommes en rouges et tous les membres présents dans la salle de vente agirent à leurs façons. Certains avaient directement sorti les armes par précaution et les autres restèrent impassibles, comme Lawliet qui mangeait toujours ses crêpes, et attendant de voir ce qui allait se produire.



<< Humm ? Che type c'est …. l'homme chi est tombé chur ma bouteille ! >>




En marmonnant ces mots dans sa crêpe, le marine se rappela de la personne qui venait de tomber tout droit du ciel pour atterrir sur le convive était en fait l'homme portant un masque noir et blanc qui avait glissé sur la bouteille que Lawliet avait lancée avant de rentrer dans la salle des ventes. Il se demandait quelle mésaventure avait pu lui arriver cette fois-ci. Le masque de cette personne qui possédait une fissure surement due à la chute se brisa d'un coup et derrière ce masque le marine put enfin voir ce qui s'y cachait derrière. Une chevelure blanche, des yeux mauves et un tatouage violet sous l'oeil gauche, il n'y avait plus de doute pour le Corbeau Blanc, c'était le Shichibukai Raphaël, un ancien pirate venant des iles célestes servant aujourd'hui pour le gouvernement mondial. Le marine aux grandes cernes se rappela que le Colonel de la marine qui lui avait demandé de venir sur l'ile de Silvercircus avait déclaré que n'importe qui pouvait venir sur cette ile et après ce qui venait de se produire, les paroles du Colonel furent affirmées. Le Sergent-Chef qui était plus qu'intrigué par ce qui se déroulait continuait à manger des crêpes en attendant de voir ce qui allait se produire, mais un insecte qui rampait sur le pied nu de Lawliet attira l'attention de ce dernier. Toujours en mangeant des crêpes, le marine regarda l'insecte et ne prêta plus les yeux mais seulement l'oreille aux problèmes qui se déroulaient sur la scène qui avait l'air d'être assez animée.


<< Oh toi ! Garde ! Laisse tomber tes armes et … >>
<< Oh toi ! Garde ! Laisse tomber tes armes et va manger des larmes ! >>
<< Va chercher l’arme >>
<< Oh toi ! Garde ! Laisse tomber tes armes et va chercher l’arme ! >>
<< Oh mon dieu, platine. On me tue, on m’assassine, rubis. Vous voyez, tous ces voleurs sont en train de dérober mes précieux trésors, vous êtes témoins, argent. Noooon, je sens que je me vide de mon sang, émeraude. Je ne peux plus rien faire pour protéger ces trésors, j’ai fait tout ce que le contrat d’assurance m’obligeait à faire, argent. Je peux mourir l’esprit vaillant et dans la gloire, platine ! >>




A la fin d'un discours raté et corrigé par l'un de ses compagnons, les hommes en rouges avaient l'intention de voler le sabre qui venait de trouver son nouveau propriétaire, mais juste à l'instant c'était Edouard-Henri qui venait de parler en portant des plaintes, pensant qu'il allait mourir. A l'oreille n'importe qui pouvait conclure que ce Hedouard-Henri jouait la comédie, mais pour quelle raison il faisait ça, lui seul le savait. Pendant que le Sergent-Chef continuait à regarder l'insecte se déplacer sur son pied, l'homme qui avait reprit son allié pendant son discours mal annoncé prit à son tour de nouveau la parole.



<< Voilà Chef, on a fait ce vous aviez ordonné. On fait quoi maintenant ? On vole le reste et on tue les gens comme prévu ? >>



Après ces paroles, Lawliet se releva en sursaut et envoya l'insecte sur les places du rez-de-chaussez. Apparemment la situation était ainsi, les hommes en rouge avaient volé le sabre pendant que Lawliet regardait l'insecte sur son pied. Les hommes porteurs de rouge avaient prévu de tuer toutes les personnes dans la salle, mais Lawliet qui était un marine, un représentant de l'ordre ne pouvait pas laisser une telle chose se produire. Chez les invités c'était le calme plat, la tension était à son comble et subitement toutes les portes qui donnaient accès au monde extérieur se refermèrent. Le marine demanda quatre crêpes au marchand ambulant et se leva, Lawliet allait peut-être passer à l'action. Un peu trop lent une personne fit son apparition aux yeux des autres et pris la parole l'air bien sûr de lui.



<< Alors mes gros, vous ne croyez pas avoir fait paniquer assez la salle comme ça que vous devez leur annoncé leur mort ? Je ne suis pas vraiment disposé à vous laissez agir de la sorte. Qui plus est, vous n’avez pas vraiment de chance, j’étais vraiment motivé à suivre cette vente aux enchères jusqu’au bout
>>



Vu qu'une personne était intervenu pour vouloir empêcher le massacre qui venait d'être proclamé, le marine observa ce que cet homme allait faire tout en mangeant les crêpes qui lui restaient.



* 3, 2, 1 et... *



Ce décompte était celui des crêpes manquantes qui restait à Lawliet pour atteindre le bonheur éternel, le voisin qui était à la droite du marine aux grandes cernes le regardait avec attention, visiblement le bonheur éternel de l'homme au masque de corbeau l'intéressait plus que ce qui pouvait se passer sur la scène. Lawliet ouvrit la mâchoire, positionna la crêpe devant sa bouche et l'enfonça doucement, le Corbeau Blanc était à quelques secondes du bonheur éternel...



<< Impressionant ... >>
<< Et ainsi, le bonheur éternel vint à m... >>



Le marine n'eut pas le temps de terminer sa phrase, phrase qui allait annoncer son bonheur éternel qu'une colonne de feu émergea de l'homme apparut plus tôt sur la scène qui voulait empêcher les hommes en rouges de tuer tout le monde. Cette colonne de feu perça le plafond de la salle de vente pour s'élever encore plus haut dans le ciel. La température augmentait grandement et au fur et à mesure la crêpe du marine fut anéantie par la chaleur ambiante. Lawliet regarda la colonne de feu aussi envoûté qu'un enfant devant le feu d'artifice du siècle, mais et se mit à bailler quelques secondes plus tard.



<< C'est quoi cette chose ? >>



Tout le monde n'avait plus que des yeux pour la tour de flamme qui tenait toujours sur elle. Le Corbeau Blanc se demandait bien par quel miracle un tel phénomène pouvait avoir lieu et il ne devait pas être le seul à devoir se poser cette question, mais il semblerait qu'une personne ne soit pas intrigué par ce qu'il avait sur la scène, c'était l'homme au masque de chat qui voulait savoir ce que ressentait Lawliet après avoir échappé au bonheur éternel.



<< Eh, masque de corbeau, pour le bonh... Le bonheur éternel ? Dans des crêpes ? Et puis quoi encore ? >>


Le Sergent-Chef coupa instantanément la parole de l'homme au masque de chat pour annoncer que le bonheur éternel n'existait finalement pas. L'homme au masque de chat qui regardait Lawliet avec passion depuis le début, car il pensait que le bonheur de celui-ci était à la clé. La réalité fut tout autre, l'homme au masque de chat avait seulement regardé le gouter du marine. Plus que déçu et après avoir pris conscience que le Corbeau Blanc s'était moqué de lui, l'homme au masque de chat essaya de comprendre le pourquoi du comment avec les mots qu'il put trouver dans une voix des plus désespéré.



<< Mais t'as dit de te regarder dans les yeux et que tu ne faisais pas de blague et que et tout... >>



Fidèle à lui même, Lawliet donna une réponse complète et significative en ignorant du regard la personne à laquelle il s'adressait.



<< Je vous ai demandé si vous croyez que selon vous, j'étais le genre de personne à passer mon temps à faire ce genre de blague ? La réponse était oui, tout simplement. J'ai mangé toutes ces crêpes parce que j'avais faim. Maintenant taisez-vous et regardez ! >>



La salle chauffait de seconde en seconde, les rideaux qui couvraient les autres articles commencèrent à brûler eux aussi pour les laisser apparaitre au grand jour. Sur la scène un éclair venu du second balcon s'abattit sur le sol, un homme apparut et se mit en quête du sabre volé. Après s'être débarrassé de quelques personnes le brave homme ayant la force de la foudre récupéra le katana volé et commença à le contempler au beau milieu de la pagaille générale qui régnait. L'homme qui avait le katana entre ses mains le prit et le cacha dans son grand manteau. Alors, en vrai il s'était mis à la recherche de ce sabre pour son propre intérêt, selon sa logique le marine déduit qu'il devait normalement se cacher un pirate derrière cette personne. Lawliet l'observait et le laissa repartir comme si de rien était sur le balcon d'où il venait grâce à un déplacement effectué par la foudre. Le marine aux grandes cernes décida qu'il s'occuperait de ce pirate plus tard, pour le moment ce qui comptait c'était d'éteindre la tour de flamme.

Chacun avait comme son rôle déjà préparé, il y avait déjà le mystérieux homme qui avait crée la tour de flamme, le désigné pirate par Lawliet qui avait pris le sabre et maintenant c'était au tour de Raphaël toujours assis sur le chef des hommes en rouge qui se mit à passer à l'action. Il se débarrassa de trois pirates en rouge grâce à sa maitrise du vent, sauva Henri-Edouard qui était allongé au sol et par l'intermédiaire d'une attaque assez puissante souffla la colonne de feu par le vent. Raphaël se retourna vers l'homme-torche et lui adressa quelques mots.




<< Excuse-moi l'allumette, mais ton barbecue improvisé aurait put détruire toute la salle, sans parler de ce pauvre Mr Delablinque qui a faillit y passer ! Puis tu m'excusera mais, me prélasser dans un four à 200°C, ça a jamais été l'un de mes fantasmes. Normal que je souffle ta bougie donc... >>



Tout rentra dans l'ordre sans que le Sergent-Chef eu son mot à dire. Assis son siège mangeant une crêpe en regardant le ciel par le trou dans le plafond fait par les flammes, Lawliet tira ses conclusions et projets pour la suite qui étaient assez nombreux. Le marine passera finalement à l'action le moment venu.




* Bon alors la situation actuelle sur cette ile est qu'il y a pour l'instant au moins trois possesseurs de Logia. Le vent, le feu et la foudre. Le vent est du côté du gouvernement mondial, la foudre, si mes pensés sont bonnes, du côté de la piraterie, mais pour le feu je n'en sais pas assez pour en tirer quelconques hypothèses. Il faut aussi que je découvre qui sont ces hommes en rouges et ce qu'ils veulent, ensuite si j'ai pas trop faim je les arrête, mais il y a aussi le type qui contrôle la foudre que je vais devoir stopper s'il ne rend pas ce qu'il a volé. Et arrêter la personne détentrice du Goru Goru no mi ne serra pas du tout une chose aisée d'autant plus je n'ai pas la moindre idée sur le fait qu'il soit venu seul ou accompagné. Il est encore trop tôt pour agir, attendons de voir comment la situation évolue, ainsi la justice vaincra ! *



To Be Continued...
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Dernière édition par Lawliet Raven le Sam 29 Jan - 0:21, édité 1 fois
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Ikkinetsu

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MessageSujet: Re: [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2-   [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- I_icon_minitimeLun 24 Jan - 13:27


Un Ennui Mortel
Objet de convoitise




    Alors que la vente au enchère commença, les prix flambèrent en un rien de temps. Ikki n'avait même pas eut a faire de fausse enchères, car le prix final du sabre s'exprima en milliard de berrys. 7.000.000 berrys exactement, un peu chère pour une déco de salon ne trouvez-vous pas ? Quoiqu'il en soit, le spectacle n'était pas vraiment de qualité, Ikki s'ennuyait affreusement, a un point qu'il préféra écouter les âneries d'un gars assis sur le même balcon qui parlais de trouver le bonheur éternel a travers les crêpes.


    *Si le bonheur éternel était si facile a atteindre il n'aurait rien d'extraordinaire, la seule chose qui t'attend mon vieux, c'est d'avoir étouffé ta faim*



    Pourtant, des personnes bien crédule le crurent et le regardait engloutir une a une les crêpes. Certain murmurait un décompte, d'autres étaient dégouté de voir quelqu'un s'empiffrer comme ça. Cet homme ou femme avait réussit a faire passer la vente au enchères au deuxième plan, tout le Balcon n°2 le regardait, si bien que personne ne s'aperçut qu'il y a avait de l'action en bas. Des éclaires jaillissait de partout, des bourrasque de vents éclataient en plein milieu de la salle, et enfin comble de tout cela ce fut au tour des flammes d'apparaitre. Ikki ne put s'empêcher de regarder ce qui se passait en bas et de crier a ceux qui se battait:


    _ Aller ! Plus que la terre et l'eau et on a tout les éléments !



    N'ayant rien a voir dans cette histoire, Ikki decida de rester spectateur, bien qu'il pu reconnaitre facilement les attaques électrique de son capitaine. Vu que Heihashi était là, Soran ne devait pas être loin... Ikki le chercha du regard, mais rien a faire, il ne vit au RDC personne se battant a l'image de son camarade. Puis tout bêtement, il tourna la tête vers l'autre balcon, Ikki vit un homme toujours vêtu de sa cape et son masque portant une étrange arme, une épée en forme de clé ? Ça ne pouvais être qu'une personne ! Débilement mais surement, Ikki s'agita etbalança son bras de gauche a droite comme pour faire coucou:

    _ Heeeeeeeooooooooooooo Soooooooorrrrrrrrrraaaaaaaaaaannnnnnn !!!!!! On va aider le capitaine ?


    La question d'Ikki n'arriva surement pas aux oreilles de Soran, vu qu'il ne répondit pas. Il avait d'ailleurs l'air très occupé, Ikki n'insista donc pas. Vu qu'a la fois Heihashi et Soran se débrouillait bien, Ikki n'avait aucune excuse pour squatter leurs combats et se dérouiller un peu. Cependant, il sentait que ça allait bientôt être a lui d'entrée en scène... Il se prépara, s'échauffa furtivement, puis se rassit a sa place et contempla le spectacle. C'était extraordinaire, si l'on regardait les murs, on pouvais voir des tons de couleurs éclater, c'était magnifique, une fois c'était du rouge, une autre fois du jaune, et une autre fois les deux en même temps qui disparaissait sous une bourrasque, qui rebondissait contre le mur et arrivais aux balcon sous la forme d'une petite brise d'air. Cependant les vents devenait de plus en plus froid, et plus fort, il fut un moment ou il était difficile de ne pas perdre l'équilibre, Ikki en ayant eut marre de ne pas pouvoir bouger ni intervenir cria:


    _ Nan mais c'est pas bientôt fini ?!!! Quelqu'un peu arrêter ce p***** de ventilateur humains ?! Hei pitié je m'ennuie a mourir !!!! tu pourrai pas m'en laisser un peu ?


    Bien évidemment Ikki ne s'attendait pas a ce que Hei fasse quoique ce soit ! Il ne savait même pas s'il avait pu entendre sa voix, car le combats commença a devenir de plus en plus intense ! De plus les cris des invités résonnait dans toute la salles, une vrai horreur. Ikki priai de tout son cœur pour qu'il se passe enfin quelque chose qui serait intéressant !





HRP: Désolé Rp foireux et super court =/ et en plus je suis en retard --" je cumule tout aujourd'hui ><
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Akaide Kanna

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[RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- _
MessageSujet: Re: [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2-   [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- I_icon_minitimeMar 25 Jan - 0:29






Bordel devait être le mot qui convenait le mieux pour décrire l’évolution des évènements. En effet, toute la salle s’était mise en mouvement et en dehors des grandes démonstrations de puissance, d’autres petites rixes avaient commencées ça et là. Dans un coin on avait un sergent de la marine qui se mesurait à un supernova et dans un autre un groupe de révolutionnaires qui s’employait à repérer les marines et à s’attaquer à eux. Petit à petit les masques tombaient. Les gardes ne contrôlaient plus du tout la situation, d’ailleurs personne ne la contrôlait plus du tout. Au fur et à mesure que les déguisements étaient déchirés ou volaient en éclat, chacun pouvait reconnaitre les figures connues et présentes.

Au milieu de ce chaos sans nom, chacun abordait la situation de manière différente.

Mitsu avait misé sur l’attaque directe et de front. En un instant il s’était retrouvé sur la scène et avait balayé plusieurs pirates, plusieurs pirates et plusieurs invités d’un grand coup de flamme. Ceux qui s’étaient trouvés sur le passage de la déflagration étaient soit totalement inconscients soit morts.
Fort heureusement, un autre détenteur de pouvoir élémentaire s’était lancé à la rescousse d’Edouard-Henri. Ce dernier mouilla son pantalon et pas conséquent un petit peu aussi les vêtements du célèbre shishibukai. Grace à une série d’attaque minutées à la perfection il parvint lui aussi à envoyer valdinguer une bonne partie des assaillants. En fait… ça avait même été beaucoup trop facile.
Et un troisième détenteur de pouvoir élémentaire était lui aussi entré dans la mêlée. Heihashi agissait peut-être davantage par avidité que par amour du combat, mais il apportait néanmoins sa pierre à l’édifice. Il trouva, lui aussi, le combat incroyablement facile. Avec une série d’attaque foudroyante il avait décimé ce qu’il restait des pirates aux capuchons rouges. Gagnant aussi aussi passage, un superbe sabre.

Seul demeurait conscient leur chef qui se trainait maintenant sur la scène avec grande peine.
Chacun put observer son long cheminement jusqu’aux pieds d’un Edouard-Henri Delablinque tout tremblant, dégoulinant et bavant. Gémissant plus que parlant, le chef des hommes en rouge s’adressa au riche homme d’affaire :

« Merde, ça devait pas se passer comme ça … Vous aviez dit que ce serait un travail facile »
Malheureusement le DenDenMushi-Micro avait été projeté à ses pieds et toute la salle put entendre sa dernière supplique.

Devant les démonstrations de pouvoir qui venaient d’avoir lieu, les quelques querelles qui avaient pris naissances aux quatre coins de la salle perdaient en intensité. Bien malgré eux ou volontairement, ceux qui s’étaient lancé à corps perdu dans la bataille avaient fait réfléchir les plus faibles. Ils craignaient d’être les prochaines victimes du déchainement d’une vague de feu, d’une puissante lame d’air ou de la foudre.

Donc, alors que le calme commençait à se réinstaller, les draps placés sur les vitrines achevèrent de se consumer pour révéler aux yeux de tous les trésors de l’ancien monde.

Dans la première vitrine on pouvait contempler deux bouts de lames en forme de clef. Ils n’avait toutefois pas de manche. Sur l’étiquette on pouvait lire « antique relique d’une arme servant à des cérémonies religieuses, imprégnée du pouvoir du dieu « Harkal », dieu du feu de l’ancien monde. On raconte que son pouvoir est contenu dans ces bouts de lame à qui saura l’éveiller. »

Dans la seconde vitrine on pouvait voir une corde noir tendue. Sur l’étiquette on pouvait lire « Corde tressée avec les cheveux de Kalgara. Elle serait encore imprégnée de son pouvoir. Peut servir à faire un arc si on trouve un bois assez résistant pour former la hampe ou à attacher un pantalon un peu trop large. »

Dans la troisième vitrine on pouvait voir une sorte de moteur en ferraille. Sur l’étiquette on pouvait lire « Antique système de propulsion pour bateau construit par le génial inventeur Greyom VegaEmo. Est alimenté par un courant de feu continu et permet de traverser les mers à toute vitesse. A noter que si un inventeur doué s’y penche, il devrait être capable de dévier les système pour ajouter un dispositif permettant de lancer des boules de feu avec son navire».

Dans la quatrième vitrine on pouvait voir un autre objet du docteur VegaEmo. Il s’agissait d’un dispositif étrange ressemblant à un stéthoscope. Sur l’étiquette on pouvait lire « Invention servant à écouter les conversations à plusieurs lieues de distances. A appartenu à Ridler Von Heim, célèbre redresseur de tort de son époque. A noter que l’objet recèle peut être d’autres fonctions cachées »

Dans la cinquième vitrine on pouvait voir un magnifique couteau de cuisine ouvragé. Sur l’étiquette on pouvait lire « Couteau du cuisine du célèbre chef Gilbert Lefrançais. Il s’en est servi pour cuisiner les mets les plus fabuleux que cette terre ait engendré. Il s’est trouvé en contact avec les aliments les plus rares et les plus délicieux qu’on puisse trouver. Il est, par ailleurs, parfaitement équilibré et peut aussi s’avérer redoutable en combat. Il est accompagné d’une pierre à aiguiser éternelle. »

Dans les autres vitrines on trouvait d’autres objets extravagants mais qui n’avaient pas l’éclat de ces derniers. Un œil averti se rendrait compte toute de suite que tous les autres objets ont été remplacés par des copies grossières.

Mais plus que tout, ce qui attirait le regard, c’était le contenu de la vitrine centrale. S’y trouvait une splendide couronne faite d’un métal blanc et irradiant de lumière. Ce genre d’objet n’avait aucune utilité en combat, mais il en imposait tellement que tous les yeux étaient braqués dessus.

La tension était palpable dans la pièce. Plus d’une personne désirait se ruer sur la scène pour s’emparer de l’un des trésors. Mais la démonstration de puissance qui venait d’avoir lieu en effrayait plus d’un.
Etrangement un silence glacial s’installa dans le hall.

C’est cet instant que choisit un trio d’invités pour se lever et traverser toute la pièce en direction de la scène. Le premier était un homme d’une taille moyenne, environ 1m75 et pourvu d’une silhouette gracile. Il portait des vêtements bleu foncé ornés de motifs dorés et avait toujours son capuchon bleu par-dessus le visage, ainsi que son masque. Le second était un homme de grande taille et à la musculature imposante. Sous sa cape il portait des vêtements de cuir noir. Pour ceux qui le voyaient de près, sa peau était étrange, elle était blanche et un peu brillante, elle dégageait quelque chose d’artificiel. La troisième personne était une femme. Sous sa cape elle portait un kimono vert et brun aux motifs complexes. Elle avait dans la main une crosse en forme d’ankh. Tous trois cheminèrent jusqu’à la scène à une vitesse impressionnante. Ils s’arrêtèrent devant la vitrine principale, le premier vit voler le verre en éclat et s’empara de la couronne. Toujours aussi rapidement et sans laisser à quiconque l’opportunité de faire un mouvement, le jeune homme gracile apparut devant Mitsu, plaqua sa main sur son torse et l’envoya voler à l’autre bout de la pièce. Sa main ne passa pas à travers le pirate, ce qui surprit grandement ce dernier et explique en partie son absence de réaction immédiate.

Calmement, ce dernier ramassa le DenDenMushi-microphone aux pieds de Delablinque et se positionna derrière ce qui restait du pupitre. Il ôta sa capuche et son masque, révélant des traits fins et tranchants.

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Tout en levant la couronne en l’air il déclara :

« Je suis Centes Decima, hériter du trône de GrandLine et cette couronne m’appartient. Aujourd’hui est le jour où je reprends la place qui est mienne. »

Joignant le geste à la parole il posa la couronne sur sa tête.

« Malheureusement pour vous, vous êtes le sacrifice nécessaire à la déclaration de guerre que je lance au monde. Et lorsque nous en auront terminé avec vous, cette île deviendra la capitale du nouveau royaume de GrandLine »

Edouard-Henri acheva de vider sa vessie. Ca ça ne figurait pas du tout dans son programme. Oui il avait bien embauché des pirates pour voler les fausses pièces exposées aujourd’hui afin de toucher l’argent de l’assurance, mais à aucun moment il n’avait prévu que l’hériter d’une ancestrale lignée royales viendrait s’emparer de son lègue et qu’il en profiterait au passage pour déclarer la guerre au monde.

L’annonce provoqua une petite tôlée et plusieurs personnes se jetèrent sur les 3 protagonistes. Centes ne fit pas un seul geste. Ses deux gardes du corps enchainèrent une série de mouvements avec une précision et une vitesse d’exécutions à en faire frémir le plus aguerri des combattants. La jeune femme se servait de son ankh pour réduire en purée les mâchoires des détenteurs de fruits du démon, tandis que l’homme vêtu de cuir utilisait un arsenal tout droit sorti de son corps pour hacher menu les plus téméraires.
La première vague fut décimée en un rien de temps. Centes Decima en profita pour reprendre la parole.

« Je vous présente Kanna Akaide, cinquième chevalier de l’ordre Decima. Et Azran Zakka quatrième chevalier de l’ordre. Ils seront les compagnons de jeu des personnes se trouvant sur les balcons. Quant à moi, je vais m’occuper personnellement des gens présents dans le grand hall »

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A ces mots, Kanna sauta vers le premier balcon, là où se trouvaient Lawliet et Ikkinetsu. A peine arrivée elle entama son office et défonça la mâchoire de quelques révolutionnaires.
Lawliet venait de s’enfiler une bonne centaine de crèpes, cela le rendrait peut etre heureux mais ne l’aiderait surement pas beaucoup pendant ce combat. Pire, cent crèpes sur l’estomac ça vous ralentit un homme. Il fallait espérer qu’il trouve un moyen de conserver son potentiel combatif.
Ikki quant à lui avait cessé de hurler en direction de l’autre balcon et avait reporté toute son attention sur le combat qui se profilait à l’horizon.

Repérant les deux lascars, Kanna leur lança :

« Aller, venez venez mes agneaux, je dois attendrir votre chair. »


Azran Zakka de son coté avait activité des mini réacteurs dans son dos et s’était élevé jusqu’au second balcon. Lui aussi trucida quelques pirates avant d’arriver devant Soran, Hino et Hei.
Soran était échauffé, il venait d’en découdre avec une bande de scélérats et ses reflexes étaient plus affutés que jamais.
Hei quant à lui venait déjà d’utiliser une bonne partie de son jus en multipliant les attaques sur les pirates de la scène. Sans aller jusqu’à dire qu’il était fatigué, il avait déjà quelques attaques dans les pattes.
Hino de son coté était resté un peu dans le brouillard, observant les évènements de loin. Mais là, si il voulait vivre, il allait devoir se mettre en mouvement. Et étant donné la carrure du type en face, il allait même falloir que chacun coopère.

Dévisageant ses adversaires, Azran leur lança :

« Objectif : destruction petite pile, portier et clochard. Enclenchement des manœuvres d’élimination amorcé »

En contre bas, au rez-de-chaussée, Centes sauta de la scène et se lança dans la mêlée. Au moment où il commença le combat, une petite lueur sortit de sa poitrine et se mit à danser autours de lui. Tantôt elle illuminait l’épaule affaiblie d’un homme sur laquelle Centes s’empressait de frapper et tantôt elle prenait des formes au dessus de la tête de ses adversaires. Il s’agissait là d’un bien curieux pouvoir. Malgré son apparence frèle, les coups que portait l’héritier des Decima étaient d’une rare violence. De plus il semblait utiliser une technique de combat ressemblant de loin au Rokushiki. Ce n’était pas ces techniques là précisément, mais la manière dont il maitrisait les mouvements de son corps y faisait penser.
Arrivé face à Mitsu et Raphael, il ne leur adressa pas un mot mais se planta devant eux, attendant qu’ils attaquent.

C’est à ce moment qu’un dispositif explosif placé sous la scène explosa… Il avait été placé là par les faux pirates qui devaient faire sauter les objets afin que l’assurance ne se rende pas compte que certains étaient faux. Toutefois la petite manœuvre de mitsu avait déréglé le dispositif.
L’explosion fit valdinguer les objets un peu partout. La corde et le moteur arrivèrent près de Raphael et Mitsu. Les lames en formes de clefs allèrent sur le balcon de Hino, Soran et Heihashi. Le couteau de cuisine et le stéthoscope atterrirent eux sur le balcon de Ikki et Lawliet…



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MessageSujet: Re: [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2-   [RP] Grande salle des fêtes - Balcon 2- I_icon_minitimeLun 14 Fév - 0:18

~ Chapitre Spécial 5 : La couronne du roi et le stéthoscope du corbeau.
La cour Decima entre en scène ! ~




Après que tous ces événements se soient calmé, Lawliet réfléchissait à une suite des évènements avenir après la vente. Objectifs nombreux et assez dangereux, le Corbeau Blanc ne chercha pas une idée qui créerait le conflit, mais une idée qui irait en faveur du marine sans trop de danger. Le problème le plus grand pour la suite serait d'arrêter un homme qui avait avalé le fruit du démon de la foudre, un pirate selon Lawliet, et qui avait volé le sabre mis en vente il y a peu. En ayant observé le possesseur du Goru Goru no mi, le Sergent-Chef pu constater que le dénommé pirate avant un certain lien d'amitié avec le Shichibukai Raphaël, donc un autre problème venait déranger Lalwiet. S'il devait s'en prendre au pirate qui possédait le fruit du démon de la foudre, comment savoir si le Shichibukai aiderait le pirate ou le marine. L'idée de s'en prendre à ce possesseur de Logia s'estompa petit à petit pour le moment attendant la suite pour la vente aux enchères. Le moment de solitude du marine fut stoppé par les paroles du chef des hommes en rouges qui avaient pu être entendues par tout le monde à cause du fait qu'il avait laissé un Escargophone Micro allumé.



<< Merde, ça devait pas se passer comme ça … Vous aviez dit que ce serait un travail facile ! >>


Les hommes en rouges avaient donc prévu leur coup, mais ils n'avaient pas prévu les trois possesseurs de Logia qui avaient quasiment tout fait pour rétablir la situation. Lawliet était maintenant presque assuré qu'arrêter les hommes en rouges après la vente et les amené en prison serait chose facile. Le Corbeau Blanc voulait en ce moment digérer les 99 crêpes qu'il avait avalés au par avant et resta donc assis sur son siège en regardant les couvertures consommées par le feu ne cachant plus les autres objets qui allaient être mis en vente. Tous les objets étaient dévoilés et une description de chacun était posée en dessous. Il y avait dans une première vitrine deux lames en formes de clé ayant appartenu à un ancien Dieu, dans une deuxième une corde ayant appartenu à un célèbre guerrier venant des îles célestes, dans une troisième un moteur en ferraille qui pourrait vraiment bien servir à un bateau si un inventeur y jetait un coup d'oeil, dans une quatrième vitrine une mystérieuse chose ressemblant à un stéthoscope permettant d'écouter des conversations à distances et d'autres choses, dans une cinquième un couteau de cuisine qui serait aussi bien pour la cuisine que pour le combat et dans une dernière Lawliet pouvait voir une couronne attirant tous les regards des personnes les plus avides, mais pour le marine tous ces objets n'avaient aucune valeur alors il se laissa bailler et entamer une sieste d'un seul oeil.


Depuis déjà plusieurs minutes c'était le calme plat, en même temps après avoir assisté à la démonstration de trois personnes assez puissantes, la plus grande partie des gens dans la salle était assez intimidée. Dans ce silence trois nouveaux énergumènes se levèrent et se dirigèrent à grande vitesse sur la scène. Il y avait un homme très fin, une femme portant un kimono et une troisième personne assez carré. L'homme fin cassa la vitre qui entourait la couronne et en une sorte de pas éclair apparut devant l'homme qui contrôlait le feu pour poser sa main sur son torse et lui imposer un mystérieux choc afin de le propulser sur une bonne dizaine de mètres. Le marine ferma son second oeil et soupira parce qu'il commençait à en avoir vraiment marre des personnes qui arrivent de nulle part pour faire ce qu'ils veulent. N'ayant plus la foi pour regarder ce qu'il se passait sur la scène, Lawliet n'avait plus que ses oreilles pour entendre le mystérieux homme fin qui allait parler.




<< Je suis Centes Decima, hériter du trône de GrandLine et cette couronne m’appartient. Aujourd’hui est le jour où je reprends la place qui est mienne. Malheureusement pour vous, vous êtes le sacrifice nécessaire à la déclaration de guerre que je lance au monde. Et lorsque nous en auront terminé avec vous, cette île deviendra la capitale du nouveau royaume de GrandLine. >>



Après une présentation inutile selon le marine, celui-ci savait que l'homme fin se nommait Centes Decima et qu'il voulait déclarer la guerre, mais avant cette guerre un certain sacrifice était nécessaire. Les membres prévus pour le sacrifice était toutes les personnes présentes dans la salle de vente, donc Lawliet en faisait également parti ce qui le plut pas tellement. Subitement des coups semblent avoir été échangés, mais le marine ne vit rien de cela, car il avait les yeux fermés prenant le temps de digérer comme si de rien était. Centes reprit la parole pour présenter ses deux acolytes.



<< Je vous présente Kanna Akaide, cinquième chevalier de l’ordre Decima. Et Azran Zakka quatrième chevalier de l’ordre. Ils seront les compagnons de jeu des personnes se trouvant sur les balcons. Quant à moi, je vais m’occuper personnellement des gens présents dans le grand hall. >>



La femme au kimono se nommait Kanna Akaide et l'homme aux muscles imposants Azran Zakka chacun d'eux se dirigèrent sur un des deux balcons. Kanna était sur le balcon de Lawliet, Zakka sur l'autre balcon et Centes était resté en bas. Le Sergent-Chef ouvrit un oeil pour voir comment Kanna s'occuperait sur le balcon et la femme avait l'air de s'occuper tranquillement en battant à plate couture la quasi totalité des gens du balcon par l'intermédiaire d'une arme étrange, le reste était éloigné le plus possible de la femme en kimono en étant caché derrière leur siège. Il ne restait plus que Lawliet et une seconde personne en liste. Le marine reconnu cette seconde personne vite fait grâce à son accoutrement, c'était la personne qui avait trouvé la grande somme d'argent au part avant. Il n'y avait pas besoin d'être très intelligent pour comprendre que Lawliet allait devoir se battre contre cette femme.



<< Aller, venez venez mes agneaux, je dois attendrir votre chair. >>



Kanna avait défier les deux seules personnes semblant encore être en état de se battre pour selon elle les massacrer comme tous les autres. Lawliet n'avait plus le choix, il se leva de son siège ouvrit son autre oeil tout en baillant et s'étirant comme si le marine venait de se lever d'une sieste. Le marine marchant lentement vers Kanna en pinçant du bout de ses doigts son chapeau haut-de-forme afin de la maintenir droitement se demandait comment il ferait face à cette femme quand tout à coup une explosion retentit dans toute la salle. Le couteau de cuisine et l'étrange stéthoscope furent expulsés du rez-de-chaussé, le couteau de cuisine se dirigeait sur le visage de Lawliet à grande vitesse et celui-ci allait être transpercé par le couteau. Au dernier moment, le marine utilisa son fruit du démon pour se rendre immatériel et laisser le couteau le traverser et finir sa course plus loin. Quant au stéthoscope, il atterrit sur le balcon du Corbeau Blanc non loin de son siège. N'étant pas cuisinier le couteau ne lui servirait pas, du moins pour le moment et il en était de même pour le stéthoscope vu que le marine n'était pas médecin, mais peut-être que ses fonctions dites cachés pourrait finalement bien servir, alors Lawliet finit donc par prendre le stéthoscope et le placer sur lui et subitement il se mit à entendre une voix.



<< Toi, le chien du Gouvernement, je pense être sûr d’avancer que toi non plus tu n’es pas bien d’accord avec la politique engagé par nos invités clandestins. Toi aussi tu désires démonter leur crâne juste parce qu’ils ont osé mettre un terme à la cérémonie. C’est pourquoi je te propose une alliance rien que pour le moment de tuer ce gamin. Rien de bien méchant, rien de bien difficile. J’ai pu voir que tu manipulais le vent ce qui pourrait nous être bénéfique. Un mélange de mon feu et de tes petites tempêtes, de quoi faire mal, très mal. Qu’est ce que t’en dis ?
Pour te prouver ma fidélité sur ce contrat, je suis même disposé à ôter ce masque pour permettre une coopération parfaite. Difficile d’aider quelqu’un dont on ne connait même pas le visage. Et sinon, dernier détail, je m’appelle Mitsu et j’ai dix-sept ans. >>




C'était la voix de l'homme contrôlant le feu. A travers le stéthoscope, Lawliet qui était sur un des balcons put entendre cette personne qui se trouvait au rez-de-chaussé. L'inscription décrivant cet objet de médecine était confirmé, le stéthoscope pouvait écouter des conversations à plusieurs mètres de distances. Sur le moment le Corbeau Blanc était un poil inquiet par ce qui venait de se passer à l'instant, mais il put apprendre des choses intéressantes, le garçon qui avait avalé le Mera Mera no mi se nommait Mitsu et qu'il avait 17 ans. Le marine aux grandes cernes avait aussi entendu que Mitsu voulait l'aide de Raphaël pour combiner leur pouvoir élémentaires afin de venir à bout de Centes. Lawliet connaissait maintenant l'identité du manipulateur des flammes et savait que Raphaël et lui n'étaient pas alliés vu qu'ils ne se connaissaient même pas tous les deux. Le marine tira même une hypothèse à propos de Mitsu, vu sa façon de s'adresser à Raphaël, Mitsu ne devait surement pas être de la marine et donc par conséquent, soit un pirate, un révolutionnaire ou encore un civil tout à fait banal. Les réflexions de Lawliet furent stoppés par de nouvelles paroles prononcés par Mitsu.



<< Franchement, tu ne voudrais pas laisser tomber tes plans sans faire d’histoire, tu éviterais de te chopper une bonne grosse fessé et de te faire humilié en public. Ce n’est pas que je me la pète, mais des types comme toi je les mange chaque matin au petit déjeuner, c’est mon quotidien. Donc si j’étais toi, je ferais attention à la suite des événements et je me rendrais sans trop me battre. >>



Le détenteur du Mera Mera no mi avait un sens de la justice propre à lui-même selon Lawliet, mais les paroles prononcées par Mitsu révélèrent qu'il n'avait pas l'air d'un civil sans quelconques particularité, il se battait souvent. Le marine chassa donc un peu aléatoirement sans grande conviction que Mitsu soit un civil et donc qu'il soit en réalité un pirate ou un révolutionnaire, alors probablement un potentiel ennemi pour la suite. Le Sergent-Chef commençait petit à petit à apprécier les vertus qu'offrent cet objet. C'était au tour d'entendre les paroles de Raphaël désormais.



<< Et bien, et bien ! On dirait que l'allumette est seulement capable de faire des étincelles face à des adversaires de seconde zones, mais dès qu'il s'agit du niveau supérieur, y'a plus une flamme. Tu sais quoi Mit-saru ? Le chien n'est pas près de faire ami-ami avec un babouin de ton genre. Alors... rendez-vous dans cinq ans ! D'ici là t'auras traversé Grand Line et tu pourras me considérer comme ton égal mais en attendant, assied-toi et prends-en de la graine, je compte me faire l'autre anorexique en solo. >>



Le Shichibukai ne semblait pas vouloir partager l'offre de Mitsu et l'avais en quelques sortes envoyé balayer, l'homme aux pouvoir du vent pensait qu'il pourrait s'occuper de Centes lui-même. Lawliet était aussi content qu'un enfant venant d'avoir un nouveau jouet, tellement content qu'il se mit à tier un sourire aussi grand que le monde, il ôta ensuite son stéthoscope du cou avec le bout de ses doigts et le montra aux yeux de Kanna.



<< Désolé mais j'ai oublié, ton nom c'est bien Kanna si j'ai entendu ce que le maigrichon a dit ? …. Enfaite, je m'en fiche de qui tu es. Ca te dirais d'essayer ce stéthoscope, il est trop marrent ? Même moi je le trouve marrent tu t'en rends compte ? … En faite, non je le garde, j'adore trop cet objet ! >>



De ces paroles on pouvait comparer le marine à un enfant faisant une scène pour un jouet. Malgré tout cela, Lawliet savait très bien qu'il était sous la menace de la femme en kimono qui attendait que le Sergent-Chef et l'autre personne se mettent à l'attaquer. En repensant à cette autre personne, le marine aux grandes cernes se mit à le regarder et eut une idée plus ou moins vicieuse. Etant donné que le Corbeau Blanc ne savait rien du style de combat de Kanna et qu'il ne voulait pas l'attaquer de front tout de suite, il décida qu'il se servirait de la mystérieuse personne comme bouc émissaire. Lawliet remit son stéthoscope autour du cou et se rassit sur un siège. Le marne ne voulait pas qu'on le reconnaisse s'il se mettait à utiliser le Rokushiki, son fruit du démon ou encore ses mini-bombes qu'il a pris le soin d'en laisser seulement quatre au fond de son chapeau caché par les billets en étant désactivé et le reste en dehors de la salle de vente. Il ne restait au Corbeau Blanc plus que sa maîtrise de ses fameux coups de pied. Au lieu de se lancer tête baisser au combat, il préféra attendre que la seule autre personne sur pied puisse affronter Kanna afin d'étudier les mouvements de celle-ci pour ensuite la battre. Subitement une tornade de flamme venant du rez-de-chaussé apparut dans la salle, elle illumina et chauffa en même temps la salle tout entière.



* Il semblerait que cela ait déjà commencé... *



Les cheveux dans le vent chaud provoqué par la tornade de feu, recroquevillé sur lui-même pour mieux réfléchir et se mettant un doigt dans la bouche pour l'habitude, Lawliet s'adressa haut et fort, mais pas trop quand même, à la seule personne debout en tentant de l'envoyer au combat.



<< Eh toi ! Monsieur-j'ai-peur-d'une-grande-somme-d'argent-et-je-m'enfuie-quand-les-gens-sont-autour-de-moi, je crois bien que cette femme à besoin d'hommes et qu'il ne reste plus que nous deux. Ce n'est pas que je préfère les hommes, mais là j'ai un peu mal au ventre et je n'ai pas envie de vomir maintenant. Vu que nous sommes sur sa liste et que t'es le seul en état de te battre, ça ne te dirais pas de te charger de cette femme en kimono et de sauver tout le monde sur ce balcon ? >>



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